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Les dix règles pour bien utiliser sa tablette et son smartphone

En une décennie, un monstre de technologie s’est camouflé dans un objet fonctionnel et stylé et s’est rendu indispensable pour une grande partie d’entre nous. Malgré notre dépendance, nous ne tirons vraiment profit que d’une infime partie de tout le potentiel entre nos mains. Tablettes et smartphones restent très souvent sous-exploités et mal utilisés.

Les conseillers techniques de Super Geek ont défini les dix règles essentielles pour une bonne utilisation de sa tablette ou de son smartphone. Les choix qui amènent ce découpage et les regroupements correspondants peuvent sembler subjectifs mais ils focalisent l’attention sur l’essentiel, sur ce qui est critique ou très important.

Ces recommandations sont générales. Elles recouvrent aussi bien les iPhone d’Apple (iOS), les Galaxy de Samsung (Android) et les smartphones des autres constructeurs ainsi que les iPad et autres tablettes. Certes, les fonctionnalités ne sont pas tout à fait les mêmes mais les grands principes des bonnes pratiques acquièrent une forme d’universalité.

1.    Sécuriser son terminal mobile

Par opposition à un ordinateur fixe qui reste bien à l’abri à son domicile ou à son bureau, le terminal mobile, par définition, vague au gré de nos déplacements. On peut le perdre, on peut se le faire voler et des indélicats sont susceptibles à tout moment d’en prendre indûment possession.

La première étape après avoir déballé et démarré l’appareil consiste à le sécuriser par un code d’accès et de plus en plus souvent par l’empreinte d’un doigt. Cette deuxième façon de faire, lorsqu’elle est disponible, est un bon compromis entre l’impératif de sécurité et la facilité d’utilisation. Sauf pour une tablette qui ne sort jamais de la maison, il n’est pas raisonnable aujourd’hui de ne pas verrouiller un terminal mobile. Celui-ci est la porte d’entrée de notre vie digitale et peut donner accès à toutes sortes d’informations confidentielles.

2.    Personnaliser sa tablette ou son smartphone

Avant d’acheter une voiture, il est possible de choisir la couleur, l’équipement intérieur, les options etc. mais ce choix est plutôt irréversible. Avec une tablette ou un smartphone, ces choix peuvent être progressifs, fréquents et réversibles.

La plus visible et la plus symbolique de ces personnalisations est celle du fond d’écran et de l’écran de verrouillage. Elle permet d’avoir à l’œil un être cher, son animal de compagnie, un lieu de rêve, une échappée personnelle ou toute autre photo !

La personnalisation la plus audible est bien entendu celle des sons qui accompagnent les différentes actions et alertes : la musique individualisée en fonction de l’appelant, la notification de l’arrivée d’un email ou d’un sms, l’appui sur les touches, … tout se paramètre et s’accorde en fonction du temps que l’on veut bien y consacrer. Au-delà du son, l’affichage des alertes qui attirent notre attention en fonction d’évènements est aussi programmable. Ce sont les notifications des différentes applications (apps) que nous utilisons.

La personnalisation la plus importante du point de vue de l’utilisation est celle qui consiste à regrouper les applications dans les différents écrans ou éventuellement dans des dossiers.

La personnalisation la plus pratique est celle qui consiste à sélectionner trois ou quatre applications dont les widgets (petites vues donnant un aperçu des dernières informations) seront présents en permanence. En un coup d’œil, on peut voir la météo du jour, le cours en bourse, le trafic du quartier, etc.

3.    Se connecter au réseau, au Wi-Fi, à Bluetooth

Une tablette ou un smartphone est par essence un objet communicant qui doit être capable d’interagir avec le monde extérieur par tous les canaux possibles.

La connexion au réseau de l’opérateur téléphonique (appelé aussi réseau cellulaire) est naturelle et donne vie au smartphone. Elle n’existe souvent pas pour les tablettes qui ne sont pas systématiquement adossées à un abonnement.

Il est par contre important de bien maîtriser la connexion aux différents réseaux Wi-Fi qui sont accessibles dans les différents lieux. Les opérateurs téléphoniques limitent souvent les débits des données échangées voire les facturent. L’utilisation des réseaux Wi-Fi, très souvent gratuits, permet d’avoir accès aux autoroutes de l’information sans compteurs ni péages ! Heureusement, une fois la première connexion établie, la plupart des réseaux se connectent ensuite automatiquement.

L’établissement de la première connexion peut être certaines fois laborieuse mais il est très utile dans sa vie digitale de maîtriser comment se connecter à un réseau Wi-Fi.

Les réseaux Bluetooth ont une moindre portée que les réseaux Wi-Fi et sont utilisés en remplacement des câbles qui reliaient historiquement les différents équipements entre eux : enceintes, claviers, souris, manettes, autoradios, etc. Leur configuration est plus immédiate.

Savoir connecter sa tablette ou son smartphone aux différents réseaux est vital pour tirer pleinement profit de son équipement.

4.    Sauvegarder le contenu de sa tablette et de son smartphone

Il fut un temps où la perte du téléphone entraînait avec elle la perte du répertoire, de l’agenda, des photos, etc. La valeur du contenu était bien plus importante que celle du mobile et la désespérance était totale après un tel évènement.

La révolution du Cloud est le miracle par lequel la perte d’un équipement mobile est devenu un non-évènement (sous réserve d’avoir souscrit l’assurance auprès de l’opérateur pour le remplacement du matériel).

Toutes les informations, toutes les données, toutes les applications de la tablette ou du smartphone sont stockées dans le Cloud, c’est-à-dire dans des serveurs distants éparpillés un peu partout dans le monde. Il suffit pour bénéficier de cette commodité d’avoir un compte chez Apple, Samsung, Microsoft, Google ou tout autre prestataire proposant ces services. Il faut aussi bien entendu s’assurer que tous les paramétrages sont correctement établis pour que cette sauvegarde soit automatique et transparente.

En cas de perte, toutes les informations, toutes les données, toutes les applications sont accessibles à nouveau à partir d’un autre équipement grâce à un identifiant et un mot de passe.

L’enjeu est donc de bien configurer sa tablette ou son smartphone dès le départ.

5.    Communiquer par téléphone, email, messagerie instantanée, webcam, etc.

Il arrive à certains d’oublier qu’un smartphone sert aussi à téléphoner ! Les outils de communication sont maintenant tellement diversifiés qu’on peut se perdre dans le dédale des possibilités. Une tablette ou un smartphone bien configuré doit contenir les applications usuelles.

Il faut différencier le téléphone « classique » qui passe par le réseau cellulaire et les applications de téléphonie par Internet comme Whatsapp, Skype, Viber etc. Ces dernières sont gratuites lorsqu’on est connecté à Internet : il suffit de s’inscrire en ouvrant un compte. Elles sont particulièrement utiles pour les appels internationaux et peuvent basculer en visiophonie grâce aux webcams qui permettent de voir le correspondant.

C’est la même situation pour la messagerie instantanée qui permet d’échanger de courts messages écrits. Ce sont des sms lorsqu’ils passent par le réseau téléphonique ou des extensions de tchat des applications de téléphonie sur Internet.

L’installation de plusieurs de ces applications (au minimum Whatsapp et Skype) est un must pour communiquer tous azimuts.

Enfin, il faut bien configurer sa messagerie pour avoir accès aux emails de ses différents comptes et régler les paramètres de notification qui définissent le bon équilibre entre l’irruption permanente et la coupure radicale.

6.    Se familiariser avec la reconnaissance vocale

L’utilisation de la reconnaissance vocale sur une tablette ou un smartphone peut aboutir à des parodies de dialogues homme-machine ou au contraire nous faire rêver comme dans une publicité de Apple ou Samsung.

Il vaut mieux ne pas mal interpréter l’argument marketing des iPhone et iPad qui annonce qu’avec « Siri, tous vos désirs sont des ordres ». La difficulté principale est notre capacité de formuler clairement une requête qui rentre dans le domaine du compréhensible par la machine. Les hésitations, les bégaiements, l’emploi de termes inappropriés, les noms propres sont des écueils perturbants pour Siri et ses concurrents.

La meilleure façon de se familiariser avec la reconnaissance vocale est de la limiter au début à cinq ou six usages fréquents comme « Quel trajet prendre pour aller à telle adresse ? » ou « Quelle est la météo de demain ? » ou encore « Je veux téléphoner à Jean Dufour ».

Il faut aussi tourner sa langue une ou deux fois dans sa bouche avant d’appuyer sur le déclencheur de la reconnaissance vocale pour s’assurer d’une relative bonne diction et éviter de devoir ensuite gérer une mauvaise compréhension.

Dès que les premières embûches sont surmontées, l’apprentissage devient ensuite plus naturel et plus progressif. La puissance réelle de cette technologie magique peut alors devenir très pratique et très efficace.

7.    Surfer sur Internet

Le navigateur est le point d’entrée naturel du surf sur Internet. C’est l’outil qui donne accès à toute l’information sans passer par le filtre des applications installées. Chrome pour les équipements Android, Safari pour les iPad et iPhone, Edge pour Microsoft sont préinstallés et prêts à l’emploi. Il est bien entendu possible d’installer un autre navigateur que celui qui est déjà présent.

La saisie de texte n’étant pas toujours commode sur un smartphone, il est particulièrement utile d’utiliser les favoris ou de conserver l’historique des navigations précédentes pour accéder rapidement aux différents sites.

De même, une bonne familiarisation avec la reconnaissance vocale peut simplifier la saisie des requêtes de recherche dans Google ou Bing.

8.    Acheter des applications, de la musique, des films, du contenu divers

Le contenu d’une tablette ou d’un smartphone peut radicalement évoluer en fonction des besoins et des goûts de son utilisateur. L’achat d’applications (apps), de morceaux de musique, de films ou de toutes sortes d’autres contenus numériques se fait à partir de boutiques (store) préinstallées par le fabricant de l’équipement. Là aussi, il est possible d’installer la boutique d’un autre fournisseur de contenus.

Il faut s’inscrire une première fois dans la boutique pour fournir entre autres une carte de crédit comme moyen de paiement. Il est aussi possible de s’inscrire en se rattachant à un de ses comptes existants lui-même déjà adossé à un moyen de paiement.

Cette étape est nécessaire pour éviter la sensation de celui qui vague sans argent dans un immense centre commercial avec plein de belles choses à acheter.

9.    Trier et sélectionner les bonnes applications

Une tablette ou un smartphone est livré avec quelques dizaines d’applications préinstallées. Il y a au début un travail de découverte pour comprendre leur intérêt et décider de les conserver. La plupart de ce qui est fourni par défaut peut avoir une utilité si on prend le temps de l’explorer. A l’inverse, il est aussi inutile d’encombrer ses écrans avec des icones qui ne servent à rien !

Il faut apprendre à visionner, organiser et prendre des photos et des vidéos, il faut explorer les plans et la recherche d’itinéraires, il faut écouter de la musique et accéder aux chaînes de radio, il faut utiliser l’agenda et organiser ses contacts, il faut découvrir toutes ces applications classiques qui soulagent, divertissent, éduquent et informent.

10.  Apprendre les bonnes pratiques grâce à la prise en main distante

Il est très simple pour un conseiller de prendre la main à distance sur votre tablette ou sur votre smartphone, de vous montrer comment vous en servir et de vous apprendre les bonnes pratiques en manipulant l’appareil avec vous. Vous êtes chez vous, vous ne vous déplacez pas, le conseiller ne se déplace pas non plus, mais vous bénéficiez d’une véritable formation structurée et adaptée à votre profil qui vous permettra d’exploiter au maximum le potentiel de votre dernière acquisition.

Les conseillers Super Geek sont formés pour vous faire découvrir votre tablette ou votre smartphone, que ce soit un iPhone, un iPad, un Samsung Galaxy, un Lumia ou un Surface. Ils peuvent aussi vous aider à le configurer et à bien le paramétrer. Ils sont à votre service du lundi au samedi, de 9h à 21h, au 01 84 76 33 33.

Stockage en ligne : comparatif des solutions existantes

Photos, musiques, films, vidéos, documents professionnels, pièces administratives, archives personnelles, … la numérisation est en marche depuis plusieurs années ! Des pans entiers de notre vie se retrouvent sur un disque dur ou sur une minuscule carte mémoire. Le besoin de trier, ranger, étiqueter et structurer est toujours là mais les classeurs, les dossiers, les étagères et les tiroirs laissent de plus en plus la place à leurs homologues numériques.

La généralisation de la déclaration des revenus par Internet a même sonné le glas de l’administration traditionnelle à base de papiers et a ouvert la voie à la digitalisation tous azimuts, le PDF remplaçant le courrier officiel.

Stockage en ligne et sauvegarde des données

Mais il arrive que les têtes de lecture du disque dur s’enrayent ou que la carte mémoire tombe dans l’eau et voilà toute une vie numérique qui disparaît d’un coup ! Ces scénarios fréquents dans le passé deviennent l’exception et la sauvegarde de tous ces octets est enfin une affaire prioritaire.

Les premières sauvegardes se faisaient d’ailleurs sur des disquettes relativement fragiles. Nous avons progressivement évolué vers les CD-ROM et les DVD-ROM et puis les clés USB et les disques durs externes. Mais ces supports ont le défaut de n’être qu’en un seul exemplaire, de n’être accessible que par un seul ordinateur et de pouvoir être perdus ou endommagés.

Les plus âgés parmi nous qui ont commencé à digitaliser leurs données il y a plus d’une décennie savent qu’on peut rapidement se perdre dans le dédale des fichiers, des répertoires, des ordinateurs et des sauvegardes. Assez vite, les versions et les supports s’empilent et la recherche d’un document ancien devient un véritable parcours du combattant.

Le caractère inéluctable du stockage en ligne

Une rupture salutaire s’est produite avec la généralisation du stockage en ligne. On parle aussi du stockage dans le cloud ou dans le nuage pour la version française. Les photos, les musiques, les films, les vidéos, les documents professionnels, les pièces administratives, les archives personnelles, etc. sont stockés dans les disques durs des serveurs des grands fournisseurs informatiques : Microsoft, Apple, Google, Amazon, Dropbox, Box, etc. Ces acteurs ont mis en place une infrastructure massive et redondante qui héberge les données des clients de façon complètement sécurisée.

Il peut y avoir encore quelques débats sur les limites du stockage en ligne ou sur son juste prix, mais la tendance est irréversible au vu des évolutions technologiques et des bénéfices apportés : les données sont accessibles à tout moment à partir de n’importe quel terminal, les données sont sécurisées et sauvegardées, les données sont pérennes dans la durée, les outils de synchronisation sont fiables et relativement transparents.

Comment choisir un fournisseur ? Qui sont-ils ?

Le choix du fournisseur est une question plus ouverte. C’est un choix structurant comme lorsqu’on choisit un logement, une voiture ou une banque car il engage sur plusieurs années et sa remise en cause n’est pas sans tracas.

Il existe trois grandes catégories de prestataires : les leaders informatiques (Microsoft, Apple, Google) qui proposent le stockage en ligne en complément de leurs multiples autres produits et services, les fournisseurs d’accès (Orange, SFR/Numericable) qui dopent leurs services, les nouveaux acteurs (Box, Dropbox) qui se positionnent comme des « pure players » sur ce secteur et enfin Amazon qui élargit toujours plus son champ d’action.

La taille de l’espace de stockage nécessaire

Le critère principal pour stocker ses données dans le cloud est la taille de l’espace. Lorsqu’elle est proposée, la gratuité permet de stocker entre 5 et 15 Go, ce qui est suffisant pour les petits consommateurs. Des espaces plus conséquents sont proposés avec des limites de 50, 100 ou 200 Go. Ils conviennent généralement pour la plupart des utilisateurs à condition que les données ne contiennent pas des enregistrements vidéo et des films. Dans ces derniers cas, il faut réserver des espaces de stockage de 1 à 2 To, voire plus en fonction des volumes.

Tout le monde n’étant pas très à l’aise avec l’arithmétique des Giga et Téra octets, voici quelques ordres de grandeur moyens qui peuvent aider à estimer ses besoins :

1 Go permet de stocker environ 350 photos en haute résolution

1 Go permet de stocker environ un film d’une heure

1 Go permet de stocker environ 15 heures de musique au format MP3

1 Go permet de stocker un enregistrement GoPro de 5 minutes en haute résolution

1 Go permet de stocker 1 000 pages d’un livre scanné et digitalisé en haute résolution sous forme de fichier PDF

Quels sont les prix des différentes solutions de stockage en ligne ?

Il existe une grande disparité dans les tarifs en fonction de l’espace requis. Aucune offre ne semble radicalement plus intéressante que les autres pour toutes les tailles. Le tableau suivant permet de choisir en fonction de la capacité nécessaire.

  Gratuit 50 Go

Prix/an

100 Go

Prix/an

200 Go

Prix/an

1 To et plus

Prix/an

Microsoft OneDrive   5 Go 24 € 1 To + Office 365 = 69 €
Google Drive 15 Go 24 € 1 To = 120 €
Apple iCloud 5 Go 12 € 36 € 2 To = 120 €
Orange Cloud 100 Go * 60 €
SFR/Numericable 100 Go * 30 €
Box 10 Go 96 €
Dropbox 1 To = 100 €
Amazon drive 3 mois Illimité = 70 €

Ces tarifs sont valides à l’été 2017. Ils évoluent cependant relativement rapidement du fait de l’environnement concurrentiel.

(*) Le choix de son fournisseur d’accès Internet ou de son fournisseur téléphonique peut s’avérer pertinent car ils incluent généralement dans l’abonnement de base un espace de stockage pouvant aller jusqu’à 100 Go.

Les autres critères de choix

Les autres critères pour choisir n’obéissent pas à une arithmétique aussi simple que celle des octets et des euros.

La facilité pour manipuler les données et les synchroniser est probablement un élément clé dans le choix. Avec OneDrive, Dropbox ou SFR Cloud, l’espace de stockage en ligne apparaît dans le gestionnaire de fichiers comme une unité de stockage additionnelle. Les opérations semblent aussi simples qu’avec du contenu sur un disque dur.

L’approche de Google est structurellement différente car tout l’environnement, par opposition à Microsoft, est dans le cloud. Il n’y pas de synchronisation facile et immédiate de ce fait. Lorsqu’on a fait le choix de l’ensemble des outils de Google (Gmail, Calendar, Docs, Sheets, Slides, etc.) il est alors naturel d’utiliser le Drive associé. De même, l’utilisation d’Office emmène naturellement vers OneDrive de Microsoft.

Toujours dans le même registre, les fervents de iMac, iPhone et iPad doivent légitimement s’orienter vers le iCloud qui leur assure la meilleure intégration.

Enfin, il faut signaler que la plupart des solutions de stockage en ligne disposent aussi de fonctionnalités de collaboration à plusieurs adaptées aux entreprises.

Des conseils pour aller plus loin

Les conseillers techniques de Super Geek délivrent une prestation de conseil et d’assistance à distance pour le stockage et la sauvegarde des données. Ils sont disponibles du lundi au samedi de 9 h à 21 h au 01 84 76 33 33.